PS. Et si vous préférez lire plutot qu'écouter la vidéo, voilà la retranscription !
La confiance en soi est un pré-requis car elle conditionne fortement votre réussite, dans la vie en général et donc en tant qu’entrepreneur également !
Je ne suis pas coach et ne vais donc pas pouvoir vous accompagner si ce frein est trop important… mais Je peux toujours vous transmettre les coordonnées de quelques coachs avec qui je travaille si besoin.
Pour autant, certains conseils de différents coachs professionnels tels Tony Robbins, Brendon Burchard ou Dean Graziosi, m’ont toutefois été bien utiles lorsque je me suis lancé... J’ai notamment retenu quelques clefs que je vais partager ici et qui devraient vous rassurer quant à votre aptitude à servir vos clients !
D’abord, sachez que vous êtes clairement légitime dans cette nouvelle posture d’entrepreneur. Vous maîtrisez évidemment votre sujet. Vous détenez les connaissances et certainement les compétences nécessaires pour accompagner vos clients. En effet, vous pouvez les avoir acquises de différentes façons. Par exemple,
- Vous avez pratiqué plusieurs années et avez donc développé des compétences voire même l’expertise dont ont besoin vos clients sur le marché que vous avez choisi ; c’est le cas de toute prestation de conseil ou d’accompagnement que vous délivriez vous-même, dans votre société précédente ; Et si vous venez juste de finir votre formation, si vous n’avez encore que peu de pratique professionnelle, considérez à nouveau le contenu de votre formation, certainement très complet… Vous disposez donc bien de la connaissance ACQUISE ou APPRISE, véritable socle qui vous permet d’aider vos clients qui n’ont pas vos connaissances ;
- Si vous ne vous retrouvez pas dans cette première situation, il existe une deuxième possibilité. Peut-être avez-vous dû résoudre un problème important par vous-même ? vous avez dans ce cas, été confronté à une situation particulière, délicate, problématique, qui vous a poussé à réagir, à chercher des solutions, à expérimenter des options et alternatives susceptibles de résoudre ce problème important pour vous. Et vous avez réussi ! Vous avez donc acquis une expérience importante qui vous permet désormais d’accompagner ceux qui sont confrontés à ce même problème. Cette situation peut être assez commune bien que délicate, par exemple une séparation plus ou moins difficile avec un ancien conjoint… Vous avez appris à gérer tous les aspects d’une séparation compliquée, la protection des enfants éventuels, la gestion des biens en commun notamment les investissements à but de défiscalisation, mais aussi les relations avec vos amis communs, pendant et après… Il peut également s’agir de situations au regard de maladies et autres difficultés que vous avez dû gérer, vous concernant vous, des membres de votre famille ou peut-être des animaux de compagnie, par exemple, une maladie de peau du chien bien-aimé de la famille… Bref, vous avez décidé d’aider vos clients grâce aux compétences développées lors de l’expérience de vie que vous avez vous-même dû traverser.
Les gens adorent apprendre de personnes comme elles, plutôt que de grands savants et autres prix Nobel ! Elles aiment savoir comment, d’autres personnes qui leur ressemblent, ont pu régler un problème… Elles sont prêtes à appliquer les mêmes méthodes, à suivre les mêmes étapes afin d’atteindre leurs objectifs plus rapidement.
- Dernière option possible ; vous privilégiez une PASSION ! En effet, vous préférez monter une offre de services, dans un domaine dans lequel vous n’avez peut-être pas travaillé jusqu’à présent, mais qui vous passionne tellement, que vous avez accumulé une masse significative de connaissances, et peut-être même d’expériences ces dernières années. Vous croyez manquer de pratique concrète mais vous en savez déjà énormément sur le sujet car il vous passionne justement ! Vos clients ressentiront d’ailleurs cet engouement de votre part sur cette thématique, tant lors des phases délicates de vente qu’ensuite, lors votre accompagnement. Et quel plus beau moteur que la passion pour se lever le matin et aller travailler, n’est-ce pas ?
Et surtout, ne vous sous-estimez pas à propos de votre passion ! Josh Kaufman affirme dans son ouvrage The Personal MBA, que si vous passez 20 heures à vous perfectionner sur un sujet, vous en savez plus que 99% des gens sur ce sujet.
J’espère que vous vous sentez mieux maintenant, que vous êtes plus à votre aise ! Si ce n’est pas le cas, peut-être êtes-vous concerné par ce qu’on appelle aujourd’hui le syndrome de l’imposteur ? Cette croyance limitante peut heureusement facilement se gérer si vous prenez un peu de hauteur.
Où en êtes-vous personnellement dans la maîtrise de votre sujet ? Peut-être pas au top, comme les experts mondiaux du sujet ! Mais vous êtes sur le chemin, vous avez quitté les premiers niveaux de découverte, vous avez appris, expérimenté, fait un bon bout de chemin déjà et poursuivez votre apprentissage d’ailleurs ! Qui peut prétendre être au top et tout savoir ? Votre peur vient du fait que vous prenez les experts comme référence, ceux qui sont encore au-dessus de vous et vous comparant à eux, vous ne vous sentez pas à leur niveau, donc pas légitime !
Mais votre client, à quel niveau se situe-t-il, lui ? s’il commence là où vous avez commencé il y a quelques mois ou années, vous êtes probablement très en avance par rapport à lui et vous comparant cette fois à lui, qui débute son chemin, vous en savez déjà beaucoup et en tout cas, bien suffisamment pour l’accompagner ?
Pensez à votre offre maintenant. En la décrivant, précisément, vous serez transparent sur ce que vous proposez. Pas question de mentir évidemment, vous ne vendez pas du rêve, sinon ce ne serait pas éthique en plus d’être bancal pour le coup ! Donc votre client verra bien ce que vous lui proposez et s’il est déjà bien avancé et qu’il n’a pas besoin de vous, il le comprendra et n’achètera pas votre solution de toutes façons.
Et vous, de votre côté, comprenant lors des premiers échanges que votre prospect est manifestement bien avancé, qu’est-ce qui vous empêche de lui dire que finalement, vous ne pensez pas être en mesure de l’aider et qu’il vaut mieux qu’il cherche une autre solution que la vôtre, une solution que vous pouvez peut-être même recommander ?
Donc en concevant et présentant votre offre, vous détaillez ce que vous proposez. Le client peut l’apprécier de son côté et vous, du vôtre, vous vous rassurez quant à votre capacité à faire et écartez tout doute que vous pourriez avoir.
La dernière croyance limitante que nous pouvons aborder ici est celle relative à la capacité d’achat de vos clients, ou dit autrement à votre rapport que vous avez-vous-même à l’argent.
D’abord, il ne faut pas vous positionner sur un marché où votre client n’a pas les moyens de vous payer… Sinon, vous ne pourrez jamais en vivre !
Et il est capital que vous puissiez vivre de votre travail ! Sinon, vous ne pourrez pas aider vos clients ; vous ne pourrez pas les accompagner dans la résolution de leurs problèmes. Par exemple, dans le secteur de l’économie sociale et solidaire, ce tabou doit être levé ! La finalité de l’activité n’étant certes pas commerciale, les entrepreneurs de ce secteur ne cherchant pas à s’enrichir par conviction profonde généralement, ils butent systématiquement sur le business model, sur la génération de valeur, et se tournent alors vers des systèmes de subvention. Ils ne veulent pas faire payer le bénéficiaire un prix suffisant qui leur permettrait pourtant d’en vivre, donc ils cherchent un financement ailleurs, auprès des pouvoirs publics généralement.
Et ils y passent un temps certain ! Au lieu d’aider leurs clients ou bénéficiaires, ils consacrent beaucoup d’énergie à chercher des financements pour couvrir le coût de leur activité, les salaires notamment. Et lorsqu’ils se paient, c’est souvent peu et toujours après les autres dépenses…
MAINTENANT, si vous n’avez pas besoin de gagner d’argent pour vivre… PAS DE SOUCI…
Enfin, la pérennité de leur activité est dépendante de ces financements qui sont de plus en plus contraints par ailleurs, et parfois soumis aux aléas des changements de majorité politique…
Mais si l’objectif visé… les résultats espérés… la valeur que le client perçoit est bien mise en évidence, ce dernier ira de lui-même chercher l’argent pour acheter votre solution !
Pensez au coût des études dans les pays anglo-saxons ou même en France pour les belles écoles d’ingénieurs ou de commerce qui ne sont pas publiques. Comment font les étudiants et leurs parents pour se les payer ? Ils empruntent ! Et pourquoi, parce que la valeur perçue les convainc de prendre ce risque ! Je me souviens très bien avoir emprunté moi-même, étudiant le montant de mes frais de scolarité, pas ceux de l’Université évidemment mais ceux dont je devais m’acquitter pour suivre mes cours à l’Essec par la suite. J’avais organisé le remboursement de l’emprunt sur 6 ans avec un décalage de 2 ans au départ, raisonnant sur le salaire que je percevrais en sortant de l’école et qui me permettrait de rembourser sans difficulté !
Ceci vous pousse à bien comprendre la valeur que vous délivrez, à vos clients au travers de vos services.
Et là vous allez me répondre qu’il y a un risque ! Que vos clients ne sont pas certains d’atteindre leurs objectifs…
Et bien justement, vous allez écarter ces clients ou ils vont s’écarter d’eux-mêmes et c’est très bien, car ils ne sont pas en mesure d’investir… de s’investir même.
Si l’existence de risques les retient de s’engager, comprenez bien qu’ils n’iront probablement pas très loin… Le moindre effort, la moindre difficulté, la moindre surprise et ils chercheront des excuses voire même un prétexte pour se faire rembourser… Et il vaut mieux les identifier tôt afin d’éviter de travailler avec eux et perdre votre temps, non ?
Leur manque d’engagement conduira toujours à un manque de résultats et c’est pour ça qu’il faut éviter ces clients-là… Et qu’il faut donc leur demander de payer un prix en relation avec la valeur qu’ils peuvent recevoir.
Vous apprendrez rapidement si ce n’est déjà fait, à repérer ces chasseurs de gratuits. Vous adorerez travailler avec des clients qui investissent en eux et en vous d’ailleurs, car leur engagement conduira toujours à de meilleurs résultats.
Rappelez-vous qu’on accorde peu de valeur à ce qui est gratuit… Comme par hasard… Si votre client n’a pas d’effort à faire, notamment financier, son engagement sera plus que limité et ses résultats également en conséquence ! D’où l’importance de correctement valoriser vos services. Leur prix doit être en rapport avec les résultats attendus de votre client. Et retenez qu’un prix plus élevé, suscitera plus d’attention et de respect de votre client vis-à-vis de vos services, et donc plus engagement de leur part dans la transformation que vous leur proposez.
J’espère que ces quelques éléments vous rassurent quant à votre capacité à faire ! Ce n’est évident de se mettre à son compte, de créer sa propre activité, de ne plus reposer sur un employeur qui paie votre salaire et vos congés… C’est donc normal de ressentir quelques doutes parfois… Vous sortez de votre zone de confort et il est donc logique de ne pas être toujours à votre aise …
De mon côté, je me tiens à votre disposition pour échanger ! Cliquez sur le bouton en-dessous afin de choisir le jour et l’heure qui vous arrange. Je vous propose un diagnostic, gratuit évidemment, afin de vous aider à trouver vos clients.
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